Les mois passer maman m’avez emmené la poussette et les biberons et je les ai installé chez Nicolas car Lucie et le futur Bébé habiter désormais chez Nicolas. Il avait deux chambre dont une qu’il avait réaménagé

 

 Mon téléphone sonne

 

Moi : Allo

 

Nicolas : Elle est née, c’est une fille

 

Moi : j’arrive

 

J’ai mis ma veste, mes chaussure, pris mes pyjama (de quand j’étais petite bien sûr !) et je couru à l’hôpital

 

Moi : bonjour Lucie, Bonjour Nico et Bienvenue…

 

Nico : Eléonor

 

Moi : Regarde j’ai des pyjamas pour toi, bon ok avant c’était les miens mais ils sont bien

 

Lucie : (pose Eléonor et me pris dans ses bras) Merci

 

Eléonor : (*pleure*)

 

Nicolas : Elle a surement faim c’est heure de son biberons

 

Moi : dit donc déjà un papa attentionné

 

Nicolas : (qui rougit) C’est normal

 

Lucie sortit de l’hôpital au bout de 3 jours puis les semaines passent et tous les mercredis je garde Eléonor

 

Le mercredi 4 Aout : Une chaleur taper, Eléonor avait chaud tout comme moi à vrai dire. Toc Toc j’ouvre

 

Tom : Coucou il fait chaud, je viens t’aidez pour le bébé comme sa a deux on aura moins de travaille

 

Moi : (merci la logiqueJ) oki

 

Puis une heure à deux heures, on tape à nouveau à la porte

 

Moi : (avec Eléonor dans les bras en pleure car elle a faim qui ouvre sans regarder) Oui

 

… : Bonjour on m’a dit que tu étais maintenant dans un appart

 

Moi : (qui regarde enfin puis réfléchi) Alex !

 

Alex : oui j’avais peur que tu me reconnais pas

 

Tom : Tu vas arrêter de la faire pleurer ?! … bonjour moi c’est Tom

 

Alex : Je vois que je t’ai pas trop manque tu as déjà un mec puis un gosse

 

Moi : Alex ! Je peux tout t’expliquer

 

Alex qui part sans écouter

 

Tom : (qui récupère Eléonor) C’est ton copain ?

 

Moi : Eléonor a faim tu peux lui donner ! (puis je poursuivi Alex)

 

Je cour avant de me faire arrêter par Antoine

 

Antoine : Alex a dit que tu avais un mec et un bébé désormais

 

Moi : non, monte chez moi, je t’explique toute à heure

 

Antoine : Ok, cour après lui !

 

Je cour, je cour j’ai toujours du mal à le rattraper comme à l’époque où l’on ses rencontré

 

Moi : Alex (mal à respirer) Alex …

 

Je dois accélérer mais si j’accélère je vais pas tenir mais j’accélère quand même

 

Moi : Alex … Al (je m’écroule)

 

Quand j’ouvre les yeux, je suis dans les bras d’Alex

 

Moi : Alex … écoute

 

Alex : Pourquoi m’avoir couru après en laissant ton copain et ta fille derrière ?

 

Moi : Eléonor n’est pas ma fille je la garde c’est tout et Tom c’est mon copain …

 

Alex : (qui détourne le regarde) je savais que sa arriverai mais je ne pensais pas que ça me fesserait si mal

 

Moi : Tom ce n’est pas mon copain comme sa c’est un pote et puis ça te fais quoi toi tu as Alix maintenant

 

Alex : (qui se met à ricaner) sa me rappel il y a 1 ans ½ avec Flore et Mark

 

Moi : (qui rit à mon tour) Ah oui (plus sérieuse) devis pas le sujet, qui est Alix ?

 

Alex : Une pote à Moi

 

Il passa sa main dans mes cheveux. Je passe la mienne sur sa joue avant de le tiré vers moi pour l’embrasser. Après mon baissé je regarde derrière Alex et il y a Lucie et Nicolas

 

Lucie : Où est Eléonor ?

 

Moi (à Alex) Tu vois eux sont les parents du bébé et des amis à moi voici Nicolas et Lucie (à Lucie) Elle est avec Tom dans mon appart

 

Alex : Il y a Antoine avec lui

 

Nico : Et toi, tu es … le copain de Zoé j’imagine ?

 

Pauvre Tom

 

Alex : Bonjour oui je suis bien le copain de Zoé  je m’appelle Alexandre mais appelle moi Alex. Tom est amoureux de Zoé ?

 

Nico : Oui mais elle n’a jamais voulu sortir avec lui, on s’est pourquoi désormais

 

On monte tous les 4, puis les jumelles reviennent, je les présente puis tous les 8 ont a fini la journée puis tout le monde part sauf Alex qui décide de rester.

 

On regarde un film chacun de son côté du canapé puis plus le film approche plus nous nous rapprochons avant de finir collé l’un à l’autre, la fin du film ne fut que couvrait de baiser je crois que je sais même pas comment ce film fini. Sa fessait si longtemps que l’on ne c’était pas vu